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la dernière bande Samuel Beckett

(Jean Petrement)


la dernière bande Samuel Beckett

Texte : Samuel BECKETT
Création 1998 Compagnie Bacchus
Mise en scène : Jean-Jacques CHEP

Avec : Jean PETREMENT  Son : Maria VENDOLA

"Krapp a soixante-neuf ans, une sorte de vieux fou solitaire qui se gave de bananes et s'occupe à écouter le magnétophone, où, sa vie durant, il a enregistré ses états d'âme. C'est l'argument de La Dernière bande. Mais chez le dramaturge irlandais, résumer l'argument, c'est quasiment ne rien dire. L'essentiel est le climat, ce grotesque tragique que les meilleurs interprètes savent susciter dans une langue qui chérit l'implicite. Sous la direction de Jean-Jacques CHEP , Jean PETREMENT compose un clown défait aux allures simiesques qui n'est pas sans évoquer Michel SIMON. Une version dense et solide du monodrame, CHEP ayant réussi à concilier sa propre rêverie avec la fidélité à l'esprit du maître."
J.P SIMEON, L'HUMANITE.

" Jean PETREMENT magnifie le verbe rare, percutant, distillant à merveille un humour caustique de Samuel BECKETT " L'EST REPUBLICAIN - Mars 2003

 Voir le dossier de presse de la Dernière Bande en cliquant ici !

 

 

la dernière bande
la dernière bande, Samuel.BECKETT

KRAPP se confronte à divers moments de sa vie passée en écoutant des bobines de magnétophone
sur lesquelles il s’est enregistré 30 ans plus tôt.
La dernière bande est la pièce la plus autobiographique de S.BECKETT.
Dans son génie de l’introspection, il invente le personnage de « KRAPP » passeur de souvenir…
« La dernière bande » ne serait-elle pas un hymne à l’amour…à rebours ? »

« Peu d’hommes s’aperçoivent de ce qu’est la solitude, et combien elle s’étend ; car une foule
n’est pas une compagnie, et des figures ne sont qu’une galerie de portraits, et la conversation
une cymbale résonante, là où il n’y a point d’amour. »
F. Bacon « Essai sur l’amitié »

LA PRESSE
"Je viens de découvrir « la dernière bande « de Samuel Beckett par Jean Pétrement.et je dois dire que j’ai éprouvé le même choc qu’un visiteur dans un musée, saisi par la présence d’un portrait, ou d’un insolite regard débordant du cadre d’un tableau...C'est magique...saisissant Monsieur Krapp, l'homme a cette innocence là, géniale... Vertige, oh profond vertige !" Evelyne TRAN - Le MONDE.fr

"...pathétique et répugnant, pitoyable et pourtant si humain, performance de Jean Pétrement ..." M M -FROGGYS DELIGHT

" Pétrement fascine par la puissance de son jeu !" Gilles COSTAZ- WEBTHEA

"Beckett transcende ses vieux thèmes d’inspiration. Et l’interprète, Jean Pétrement, dans une mise en scène sobre, le sert avec brio, jouant de sa voix, de son physique dégingandé et de sa conviction pour incarner ce vieillard halluciné. Gérard NOEL- Reg 'ARTS

" Ce grotesque tragique que les meilleurs interprètes savent susciter, Pétrement le réussit parfaitement ." Jean-Pierre SIMEON- L'HUMANITE

" Pétrement magnifie le verbe rare,percutant, distillant à merveille un humour caustique " L'Est REPUBLICAIN

" Excellente interprétation de KRAPP " VAUCLUSE

" Gueule tordue, dos cassé , yeux bigleux, cheveux terreux, Pétrement magnifie le texte de Beckett !" Le PAYS

" A la fois grotesque et tragique, Jean Pétrement est remarquable !" M. Rousselet - SNES